Le sujet divise ! Et
pourtant, quand on connaît le faible niveau d’anglais des Français, on peut se
demander pourquoi l’idée ne fait pas l’unanimité auprès des députés…
L’objectif serait, en
plus de favoriser l’apprentissage de l’anglais pour les étudiants français,
d’attirer des internationaux ne maitrisant pas parfaitement notre langue.
D’après le député-maire de Maisons-Laffitte, Jacques Myard, « Il faut que nous enseignions notre langue, car nous sommes face à une certaine offensive de l’anglais notamment à Bruxelles et servir la soupe à nos concurrents, c’est une sottise immonde. Vouloir privilégier l’anglais de cette manière, c’est être bête et imbécile! ».
D’autres arguments permettent aux associations de défense de la langue française de rejeter ce texte comme le fait que les professeurs soient trop mauvais en anglais pour s'acquitter de cette tâche.
Pour le Gouvernement actuel et Mme Fioraso, rejeter cette loi c’est isoler l’Université française "à discuter de Proust autour d'une table."
N’oubliez pas, pour améliorer votre anglais, la meilleure solution reste le séjour linguistique !
D’après le député-maire de Maisons-Laffitte, Jacques Myard, « Il faut que nous enseignions notre langue, car nous sommes face à une certaine offensive de l’anglais notamment à Bruxelles et servir la soupe à nos concurrents, c’est une sottise immonde. Vouloir privilégier l’anglais de cette manière, c’est être bête et imbécile! ».
D’autres arguments permettent aux associations de défense de la langue française de rejeter ce texte comme le fait que les professeurs soient trop mauvais en anglais pour s'acquitter de cette tâche.
Pour le Gouvernement actuel et Mme Fioraso, rejeter cette loi c’est isoler l’Université française "à discuter de Proust autour d'une table."
N’oubliez pas, pour améliorer votre anglais, la meilleure solution reste le séjour linguistique !
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